COMPRENDRE LES DÉSORDRES DU COPRS HUMAIN GRÂCE À LA MÉTHODE ACMOS

Les techniques de la Méthode ACMOS entrouvrent une porte sur la médecine du futur, une médecine basée notamment sur l'information extraite au moyen d'ondes reçues et émises sur des fréquences propres au vivant par le corps énergétique en l'exposant à des gammes de régulateurs qui identifient et régulent les désordres intervenants sur plus de 30 niveaux de profondeurs de l'organisme : c'est la Bioénergétique ACMOS.

Connues depuis des millénaires dans la médecine orientale, l'équilibre énergétique global vient d'être redécouvert et exploré par la bioénergétique ACMOS qui allie les techniques philosophiques de l'Orient à la médecine moderne utilisant les techniques les plus pointus de l'électronique et de la mécanique quantique.

D'éminents scientifiques les uns méconnus, les autres distingués par les plus prestigieux récompenses telles le prix Nobel, se sont penchés, ont participer, chacun dans sa discipline, à la progression historique de cette connaissance. Parmi les méconnus, il faut citer Louis-Claude Vincent, mort en 1998 dans l'oubli. Ces découvertes en bio-électronique ont permis, par le contrôle des paramètres physiques du sang, de l'urine et de la salive, de contrôler l'évolution d'une maladie et d'évaluer les résultats thérapeutiques appliqués.

Les ondes de vie 

Déjà dans l'Egypte ancienne, les ondes de vie étaient évoquées au fronton des temples : "Rien n'est inerte, tout est vibration, tout vibre !" Nous savons aujourd'hui que tous les mécanismes de la vie sont régis par des ondes électromagnétiques. L'évolution des espèces elle-même relève de tels mécanismes.

Les anciens le savaient-ils ou non, les ondes électromagnétiques sont des ondes immatérielles : elles n'ont pas besoin de support matière pour se propager comme par exemple les ondes sonores qui se propagent grâce aux chocs des molécules d'air. Lorsqu'on provoque un mouvement d'électrons dans un conducteur (champ électrique), on fait naître à proximité de ce conducteur un champ à composante perpendiculaire à la direction de propagation, qui est un champ magnétique.

La composante d'un champ électrique et d'un champ magnétique donne comme résultante un champ électromagnétique. Ce champ électromagnétique se propage et anime l'univers qui l'entoure d'une série de phénomènes qui se transmettent de proche en proche. Ceci peut produire des actions à très longue distance.

Pour exprimer ce phénomène, les physiciens et mathématiciens ont mis au point une série d'équations à partir de données fondamentales comme la longueur d'onde, la vitesse de propagation, la période (c'est à dire le temps que va mettre le phénomène pour accomplir un cycle complet et revenir à ses conditions de départ), et la fréquence, qui représente le nombre de cycles complets par seconde.

Les ondes électromagnétiques se propagent, à peu près, à la vitesse de 300.000 km/s. C'est également la vitesse de la lumière car la lumière est une onde électromagnétique.

La fréquence s'exprime en Hertz (Hz) : 1 Hz = 1 cycle/s. On parle fréquemment de kilohertz (1000 Hz) de mégahertz (1 million de Hz), de gigahertz (10^9 Hz) etc.

Ces fréquences qui se répandent dans l'univers pénètrent aussi les organismes vivants qui réagissent en se protégeant ou en évacuant la tension ainsi perçue. Car toute cellule vivante possède sa propre vibration et émet des ondes qui peuvent être mesurées par un appareil scientifique basé sur les travaux d'un autre scientifique méconnu d'origine autrichienne mort en 1926 Ernst Lecher : il s'agit de l'Antenne de Lecher ACMOS.

Les cellules communiquent entre elles 

En 1926, un ingénieur se pencha sur "L'origine de la vie", qui fut le titre de son livre. En 1929, il publia "Le Secret de la Vie", dans lequel il disait : "La vie est une question d'ondes électromagnétiques". Dans sa "Théorie de l'oscillation cellulaire", qu'il avait étayé d'une série de preuves expérimentales réalisées dans le cadre d'institutions officielles, il obtint à Vienne, en 1939, le Prix International de Médecine pour sa théorie et ses expériences concernant l'oscillation cellulaire.

En 1936, Gustav Stromberg, astronome à l'observatoire du Mont Wilson et professeur de biologie au Carnegie Institute (USA), déclare que les êtres vivants dégagent un champ électromagnétique.

En 1940-45, Harold Saxon Burr, professeur de médecine à la faculté de Yale (USA) écrit : "La plupart des mécanismes vivants sont accompagnés de phénomènes électromagnétiques, mais je ne puis définir les relations liant les uns aux autres". Son livre : "Blue print for immortality", est un document de base.

Vers les annnées 1950-52, H. Frölich, professeur de physique à Liverpool (G.B), prix Nobel, explique que les cellules vivantes émettent des champs électromagnétiques. Ces champs ont des fréquences qui se situent dans la zone de mico-ondes (gigahertz). Il s'arrête là, mais il introduit néanmoins dans ses hypothèses de travail, la notion de coopérations inter-cellulaires (ces ondes émises par la vibration des membranes cellulaires). Il laisse ainsi entendre que "les cellules semblent se parler entre elles grâce à ses ondes".

Entre 1960 et 1978, A. Pilla, physicien de l'université de Columbia (USA) a découvert le "langage" des cellules osseuses. Sous certains champs de fréquences, les cellules osseuses qui ne formaient plus de calcium, se remettent brusquement à en fabriquer. Il publie ses travaux et obtient, en Belgique, le prix Franki. Ses résultats correspondent à 85% de réussites sur les pseudo-arthroses. Le combiné émetteur-récepteur pour détection des médicaments adéquats par électro-acupuncture.

Plus récemment, F.A. Popp, biophysicien à l'Université de Kaiserslautern (Allemagne), a découvert le "langage cellulaire" et il lui a donné sa signification bio-physique. Les cellules émettent des photons qui caractérisent l'état physiologique de la cellule. Ces émissions se font selon les règles physiques des systèmes laser. Grâce à cette technique, on peut très rapidement détecter un état cancéreux précoce ou contrôler l'activité d'un médicament.

En 1978, I. Prigogine a reçu le prix Nobel pour ses études en chimie-physique concernant les "structures dissipatives". Les structures dissipatives sont simplement des structures capables de se transmettre de proche en proche. Par exemple, un système cristallin particulier apparaissant dans un bloc de métal peut, dans certaines circonstances, transmettre son "organisation cristalline" à tout le bloc de métal. C'est une "structure dissipative".

Ces structures dissipatives permettent de comprendre certains aspects philosophiques de l'anthroposophie de Rudolf Steiner. Dans le livre de Théodor Schwenk, "Le chaos sensible", on montre comment la forme d'une coquille d'escargot de mer (bigorneau) peut se moduler au fil des âges par le mouvement tourbillonnant de l'eau et transmettre sa forme dans son hérédité : c'est l'expression même d'une structure dissipative.

Dans la science moderne, ces concepts que, jadis, on considérait comme philosophiques, trouvent leur expression dans les équations mathématiques véritables sur des modèles scientifiques, c'est à dire reproductibles et prouvables. Les lois d'analogie ne sont donc pas aussi stupide que l'on voudrait le laisser supposer.

L’eau « mémorise » et restitue les fréquences perdues par l’organisme

La tendance émanant des structures dissipatives est de concevoir une énergie capable de se délocaliser, donc capable de changer d’endroit, de se transporter en divers endroits, d’agir à distance.

C’est le principe de l’Acmodynamisation qui permet de restaurer une connexion énergétique manquante et de confirmer cette restitution par la normalisation du potentiel énergétique d’un circuit préalablement en déficit.

Plus récemment encore, il faut noter les travaux du physicien C.W. Smith, à l’hôpital des allergies, à Londres a soumis des personnes allergiques à des champs électromagnétiques. Il a monté, à l’hôpital, des générateurs à très faibles intensité de sortie grâce auxquels on a pu mettre les patients en présence de champs aux fréquences très précise. Il a remarqué qu’à certaines fréquences, un patient donné déclenchait une crise d’allergie évoquant les symptômes de son allergie habituelle : il s’agit là de la fréquence excitatrice. En continuant à parcourir les réglages des oscillateurs, Smith a alors mis en évidence une fréquence grâce à laquelle la crise s’effaçait : c’est la fréquence inhibitrice. Ces essais se sont révélés reproductibles sans que le patient sache quelle était la fréquence appliquée.

Dans d’autres travaux, il a pris des substances allergisantes pour un patient et il les a mises en contact avec ce patient. Celles-ci ont bien entendu déclenché la crise d’allergie. Il a ensuite réalisé des dilutions au cinquième de l’allergène, en montant parfois très haut avec des dilutions de cinq en cinq (il faut dire qu’à l’époque, Smith ne connaissait pas l’homéopathie et n’utilisait donc pas les habituelles dilutions du dixième (DH) ou au centième (CH). Il se rend compte que certaines dilutions sont excitatrices et d’autres inhibitrices. Il va alors plus loin encore et montre l’interchangeabilité de certaines dilutions avec certaines fréquences électromagnétiques. Il provoque une crise d’allergie avec un allergène dilué et guérit la crise avec une fréquence électromagnétique, et inversement.

A un moment donné, il rencontre des problèmes liés à l’éloignement des patients de l’hôpital. Comme les générateurs sont intransportables, il tente de trouver un autre moyen thérapeutique. Un homéopathe lui parle de ces remèdes que l’on prépare en irradiant de l’eau au moyen d’une source de rayonnement. Il prend alors un flacon d’eau et le place à l’intérieur de la spire de sortie du générateur électromagnétique programmé sur la fréquence inhibitrice. Il demande au patient de mettre le flacon en verre fermé au contact de sa peau en cas de crise : l’eau semble avoir « mémorisé » la fréquence électromagnétique inhibitrice et fonctionne à la manière d’un générateur électromagnétique. Le patient ne doit même pas boire cette eau ; le simple contact à travers le verre du flacon suffit à couper la crise ; les ondes électromagnétiques à basses fréquences se propagent à travers le verre.

Ces expériences ont été réalisées en double aveugle et les effets ont été enregistrés par électrocardiographie.

C’est notamment le principe des fluides quantiques ACMOS et plus particulièrement la gamme des ABC (Acmos Brain Connector), qui mémorise dans des fluides de microéléments, par les moyens de la physique quantique, toutes les fréquences de cohérence liant le cerveau à toutes les parties du corps. Quand le sens de la communication est centripète, l’ABC est désigné « Majeur » et connecte le cerveau à des carrefours énergétiques « perdues ». Quand le sens de la communication est centrifuge, l’ABC est appelé « mineur » et connecte le cerveau à l’énergie symptomatique avec des résultats beaucoup plus « matériels ».

Le corps énergétique transmet l’information structurelle

Une autre voie de recherche a également été poursuivie dans le domaine des ondes énergétiques : il s’agit des ondes appartenant au domaine optique – lumière optique et lumière ultraviolette.

En 1926, Gurwitsch (URSS) avait remarqué que des cellules de racines d’oignon étaient influencées positivement dans leur processus de division et de multiplication. En interposant un écran de verre, le phénomène n’avait pas lieu, alors qu’avec un écran de quartz, l’influence existait. Gurwitsch en avait déduit qu’un rayonnement UV émis par des cellules réalisait une sorte de transmission d’informations aux cellules des racines d’oignon voisin. Faute de pouvoir visualiser ce rayonnement, Gurwitsch fut traité de fumiste et traîné dans la boue par les savants de son époque. Aujourd’hui, grâce aux photo-multiplicateurs, on a pu vérifier les observations de Gurwitsch ; et D. Gabor, prix Nobel 1971 (physique) a démontré l’existence du rayonnement mitogénétique (UV).

La fille de Gurwitsch, professeur à l’académie de Médecine de Moscou, a repris les travaux de son père. Elle a pris deux ballons en verre accolés l’un à l’autre par une fenêtre étanche (on peut intercaler une fenêtre en verre, en quartz ou en métal). Dans les deux ballons, elle place des cellules de culture identique. Lorsqu’elle détruit une des deux cultures par un virus, par un rayonnement ou par un agent microbien, elle se rend compte que la culture du ballon voisin, bien que sans communication matérielle, devient malade à son tour, comme par sympathie, si la fenêtre est en quartz.

Cela veut dire que quelque chose d’immatériel est passé d’un ballon vers l’autre ; et ce quelque chose ne peut passer qu’à travers une fenêtre en quartz (et non à travers le verre ou le métal). Il s’agit donc de transmissions d’informations par un rayonnement ultraviolet.

La vie est basée sur la qualité de nos réserves énergétiques

Notre énergie de réserve se constitue en permanence par le rayonnement centripète de nos cellules vivantes vers la poitrine. Comme il s’agit d’une force centripète les appareils de mesures classiques ne peuvent percevoir l’information et seul l’Antenne de Lecher ACMOS détermine le niveau de potentialité. L’Antenne agit comme un post à transistor, en faisant tourner le bouton du cadran, le condensateur variable est mis sur une valeur précise de capacité, et de ce fait, le circuit oscillant du récepteur se met en résonance sur le circuit oscillant de l’émetteur. C’est la sélection de la longueur ou la fréquence de résonance.

Lakhovsky écrit : « La vie est basée sur ces principes de résonances d’ondes électromagnétiques ! Les cellules vivantes sont des petits oscillateurs ; elles reçoivent des informations et en donnent grâce au même principe ».

Donc, les cellules peuvent être rétablies dans leur cohérence par des champs extérieurs en se mettant en résonance avec la fréquence de ces champs qui correspondent à leur fréquence propre. C’est le principe des régulateurs ACMOS qui rétablissent les cohérences perdues par certaines cellules (précurseur de la maladie). La gamme de régulateurs ACMOS permet à l’organisme de retrouver ses connexions perdues et les techniques ACMOS les intègrent par Acmodynamisation et par harmonisation. La stimulation permet enfin de réactiver les commandes bloquées (ou points d’acupuncture) avec soit le stimulateur de circuits énergétiques ACMODERMIL, soit, le stimulateur de lumière QUANTACMOS, qui réactive les points bloqués.

D’autres champs déséquilibrent la cellule : les fréquences gamma, les micro-ondes, les rayons X etc… et ces ondes détruisent les systèmes vivants. Lorsqu’on alimente un organisme avec des substances toxiques qui s’accumulent dans les cellules, on déclenche des blocages de défenses reflétés par des décalages de champs énergétiques. La perturbation centripète des ressources énergétiques de l’organe ou de la cellule s’annonce bien avant la déformation et la destruction organique centrifuge.

En médecine chinoise, on parle d’énergie perverse interne ou externe : l’énergie perverse interne correspond à l’énergie Yin de réserve que la Méthode permet d’objectiver et le protocole ACMOS permet d’en évaluer le potentiel et de rétablir les déficiences grâces aux quelques 300 régulateurs vibratoires ACMOS. Dans le cas de non régulation, le langage inter-cellulaire ou inter-organique est perturbé par l’énergie perverse externe qu’elle soit due à des tensions intérieures ou extérieures à l’organisme telles celles émanant d’informations extérieures distordues perçues par le corps (ondes électriques, ondes radar, ondes géopathogènes, … provenant de milieu ambiant amis aussi : tensions émotionnelles, psychiques du milieu socio-professionnel, familial, écologique …)

Lakhovsky énonce trois phrases audacieuses pour l’époque (1926) :

« La vie est née de la radiation. La vie est entretenue par la radiation. La vie est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire ! ».

Nous sommes reliés à l’univers par une force intérieure et à nos cellules organiques par un rayonnement extérieur. L’Analyse de différents champs énergétiques permet selon la Méthode ACMOS d’établir un bilan et après harmonisation, stimulation et renforcement d’en évaluer les résultats par le recentrage de ces mêmes champs.

Dr. René NACCACHIAN